Les séries Animées de l’été 2015

Tandis que beaucoup suivent moult séries télévisées de plus ou moins bonne facture, j’ai davantage tendance à m’intéresser aux séries animées japonaises, qui ont pour moi le net avantage d’être constituées d’épisodes plus courts, d’êtres sous-titrées et de proposer chaque trimestre un panel d’animes assez vaste pour qu’au moins deux ou trois me donnent envie de finir la série. J’avais donc pour projet, au début de l’été, de parler des séries animées de l’été 2015 que j’aurais regardées, mais entre la procrastination et le fait que je n’ai naturellement pas pu toutes les suivre de manière assidue – hé non, le temps n’est pas élastique – ce n’est que maintenant que je m’y mets. D’ailleurs, pour le fun, j’ai précisé si j’avais fini les séries ou pas au moment de la publication de cet article.

Il y a pas mal de séries sur lesquelles je n’ai pas jeté le moindre coup d’oeil alors qu’elles étaient potentiellement intéressantes, mais vu que contrairement à d’habitude beaucoup ont réussi à attirer mon attention du premier coup, je n’ai pas trop de regrets.

Les séries qui m'ont plu

GATE : Jietai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri

GateA Ginza, dans le Tokyo moderne, une porte apparaît de nulle part et une armée de chevaliers, orks, dragons et autres monstres fantastiques fait irruption dans la ville. Après une bataille – et de nombreuses pertes civiles – ces étrangers d’un autre monde sont enfin vaincus et le Japon s’interroge sur cette étrange porte. Le gouvernement décide alors d’envoyer un groupe de soldats de la JSDF (Japan Self Defense Force, Armée de Défense du Japon) pour explorer le nouveau monde. Parmi eux, une escouade d’éclaireurs menée par l’otaku Yôji Itami, un Lieutenant de la JSDF qui brille par son flegme vis à vis de la situation et son enthousiasme débordant envers les mangas, doujinshis et autres figurines de mangas. Pendant leurs explorations, ils feront la rencontre de plusieurs habitants de ce monde, notamment une jeune elfe survivante d’une attaque de dragon, une magicienne aux cheveux bleus et une prêtresse de la guerre vêtue comme une gothic lolita (et armée d’une énorme hache).

Mon avis : Le pitch est plutôt marrant, l’armée contre une foultitude de créatures médiéval-fantasy, aidées de magie et de créatures surnaturelles. Outre une franche auto-dérision, l’anime a également un petit côté propagande vue l’emphase qui est mise sur la toute puissance de la JSDF vis à vis des armées du monde fantastique. Armée japonaise qui reste pourtant sur la défensive et vient naturellement en aide aux populations qui en ont besoin. L’humour est entretenu par la présence du lieutenant Yôji Itami qui voit tous ses rêves accomplis en voyant en chair et en os des personnages d’animes. J’aime beaucoup le contraste entre les couleurs “ternes” du monde moderne, et celles plus pétillantes du monde surnaturel, un contraste qui est également présent dans une légère différence de chara-design entre les personnages de l’autre monde et ceux du monde réel. A mon avis, tout ceci n’est que le résultat d’un fantasme du héros (il s’est mangé un mur au début de l’histoire) mais ça reste amusant à regarder.

Statut du visionnage : Inachevé

Charlotte

CharlotteYû Otosaka, un jeune lycéen, se découvre la capacité de prendre possession temporairement de toute personne dans son champ de vision. Après quelques tests, il se sert de cette capacité pour avoir d’excellents résultats à ses examens, pour intégrer l’école de son choix, et pour séduire une jeune fille en la sauvant d’un accident. Malheureusement pour lui, il est pris sur le fait par deux autres adolescents, Nao Tomori et Takajou Joujirou, dont le rôle est précisément de veiller à ce que des adolescents se voyant pourvus de ce genre de superpouvoirs (qui ne se manifestent qu’à l’adolescence et disparaissent à l’âge adulte) n’en font pas mauvais usage. A la suite de quoi, lui et sa petite soeur intègrent une école destinée à ces adolescents spéciaux, et il rejoint le conseil des étudiants pour participer à la recherche d’autres “surdoués”.

Mon avis : A la base, je n’étais pas très enthousiaste. Le chara-design des personnages féminins n’est clairement pas ma tasse de thé, le premier épisode dépeint un héros haïssable, paresseux, narcissique, et l’humour est parfois assez lourd de par sa répétition. Cependant, à partir de la fin du premier épisode, quelques indices m’ont laissé penser que l’histoire était plus sombre et sérieuse qu’elle en donnait l’impression, et j’ai donc regardé la suite. Impression confirmée, et si l’anime n’est pas un modèle de qualité ou d’originalité, il remplit son office : me divertir.

Statut du visionnage : Inachevé

Gangsta.

Gangsta.L’histoire se déroule dans une ville fictive du nom de Ergastulum, régie par des gangs violents, on suit l’histoire de Nicolas, un “DogTag” (apparemment une sorte de super soldat) sourd, et Worwick, un gigolo borgne, un duo d’hommes à tout faire (en gros, des mercenaires). Ils sont rejoints à la fin du premier épisode par Ella, une prostituée qui travaille comme leur secrétaire. Les deux hommes sont employés par les différents gangs de la ville pour exécuter les tâches salissantes, et ont même affaire à la police qui visiblement a davantage un rôle de médiateur que de maintient de la paix dans cet endroit gangrené par la violence.

Mon avis : Un anime qui a réussi à me séduire dès son premier épisode – pourtant assez violent – par son ambiance sérieuse et sombre. Le graphisme est travaillé et diffère clairement du côté lisse et propre de beaucoup d’animes – visiblement c’est parce qu’il s’agit d’un manga à la base. Comme j’ai dit, c’est violent, très adulte. Il y a des scènes d’action assez impressionnantes, mais des moments plus calmes – voire drôles – où l’on s’attarde davantage sur les relations entre les différents personnages, leurs histoires respectives. Le fait qu’un des personnages soit franchement sourd rajoute une pointe d’originalité bienvenue, car la communication avec ce quidam est toujours compliquée. Il sait lire sur les lèvres, mais a du mal à parler, et il faut parfois attirer son attention autrement qu’en l’appelant de vive voix.

Statut du visionnage : Inachevé

Overlord

OverlordMomonga, un joueur du jeu de réalité virtuelle en ligne Yggdrasil, choisit de “rester jusqu’à la fin” alors que les serveurs de ce jeu, vieux de douze ans, sont définitivement éteints. Sauf que voilà, passée la date limite, il se retrouve toujours dans le jeu, “pour de vrai”. Plus d’interface joueur, les PNJ parlent librement, et il n’a plus besoin de bouton pour activer ses pouvoirs. Sans oublier qu’il a l’apparence de son avatar, un terrifiant sorcier squelette. Avec l’aide de ses serviteurs, les PNJs devenus conscients, il étudie les environs et réalise qu’ils ont été projetés dans un tout nouveau monde. Il décide alors d’y forger sa légende, voire d’en prendre le contrôle.

Mon avis : Bien qu’il y ait quelques passages un peu excessivement ecchi à mon goût, l’anime reste plutôt sympa à regarder. Contrairement aux séries au pitch similaire (un joueur projeté dans son jeu), le héros commence en étant déjà au niveau maximum, avec une apparence qui tient plus du boss de fin de niveau que du héros de jeu vidéo. Ses serviteurs, d’ailleurs, sont des démons, succubes, vampires et autres monstres dont la violence n’est pas vraiment à prouver. Ce qui m’étonne, c’est que la série ne fait guère plus de 13 épisodes apparemment et qu’il ne s’y est finalement pas passé grand chose tellement la progression est lente. Il y a cependant pas mal d’humour, ce qui fait qu’il fait partie des séries que j’ai regardées le plus assidûment.

Statut du visionnage : Presque fini (manque un épisode)

Rokka no Yuusha (Braves of the six flowers)

Rokka No YuushaDans un monde fantasy où les Calamités (des monstres) attaquent régulièrement les humains, six guerriers sont choisis par la Déesse du Destin pour affronter les forces du Mal chaque fois qu’elles s’éveillent de leur sommeil. En signe de preuve, une marque rouge en forme de fleur est inscrite quelque part sur leur corps. Nous suivons l’histoire d’un des élus de la Déesse, Adlet Myer, un jeune homme toujours souriant et affirmant être l’homme le plus fort du monde. Il fait la rencontre de la princesse Nashetania, la “Sainte des Lames” et accessoirement une autre des six élus, et tous deux se rendent vers l’endroit où les six braves devront affronter le Roi des Calamités.

Mon avis : Une série qui démarre avec beaucoup d’énergie et qui donne envie d’en savoir plus malgré le pitch assez basique. Les premiers épisodes donnent l’impression qu’on a affaire à une histoire classique de héros allant affronter les forces du mal, mais il s’avère que le scénario est très différent. Au lieu d’une fresque épique et noble, c’est un mystère à résoudre qui se profile à l’horizon. Pour moi ça a été une très bonne surprise, la première série que j’ai finie cette saison, et j’espère qu’ils feront une suite !

Statut du visionnage : Terminé (ah bah quand même, une série finie !)

Akagami no Shirayuki-hime (Snow White with the Red Hair)

Akagami No Shirayuki-HimeShirayuki est une jeune herboriste ayant la particularité d’avoir les cheveux d’un rouge flamboyant, ce qui attira un jour la convoitise du prince de son pays, un homme capricieux et peu fiable. Préférant garder sa liberté, la jeune fille coupe ses cheveux et fuit sa ville. Pendant son voyage, elle fait la rencontre d’un jeune homme, Zen, qui s’avère être le prince du pays voisin. Séduite par sa personnalité hors du commun, la jeune fille décide de s’installer dans ce pays dans le but de voir par ses propres yeux comment évoluera ce prince, et de devenir herboriste à sa cour.

Mon avis : J’avais lu le manga d’où est tiré cet anime et je l’avais bien aimé, même s’il s’agit d’un shojo assez gentillet. J’aime l’indépendance de l’héroïne qui ne se laisse acheter par personne et décide d’arriver à ses fins par ses propres moyens, et j’aime la progression calme et généralement paisible de l’histoire. Il y a un peu de drama, mais c’est le genre d’histoire qui finit habituellement bien et, malgré les obstacles, le prince et l’herboriste se rapprochent inévitablement. Un anime très agréable à regarder.

Statut du visionnage : Presque fini (manque un épisode)

Aoharu x Kikanjuu (Aoharu x Machinegun)

Aoharu x MachinegunHotaru Tachibana est une étudiante qui s’habille en garçon et ressemble trait pour trait à un garçon, avec une force physique hors du commun (ou plutôt, une aptitude au combat) et un syndrome du héros assez développé. Alors qu’elle emménage dans un nouvel appartement, elle fait la connaissance d’un playboy du nom de Matsuoka Masamune, son voisin, qui la contrarie par son côté “grossier”.  Suite à un quiproquo, elle se retrouve endettée après avoir à moitié détruit un host club. Pour payer sa dette, elle est alors embarquée par ledit playboy (qui s’avère être un hôte) pour intégrer sa team d’airsoft.

Mon avis : Le contexte de départ rappelle beaucoup l’anime Ouran High School Host Club, mais autrement plus sérieux. Bien que l’héroïne se considère comme une fille, elle ne semble pas spécialement concernée par cette histoire de genres et agit comme bon lui semble, généralement comme une redresseuse de torts complètement obnubilée par son idée de la justice. Cela donne un anime amusant, plein de quiproquos, et qui en plus a sa dose d’action grâce à l’airsoft. Très sympa à regarder même si le côté drama typé shojo me fait parfois grincer les dents.

Statut du visionnage : Inachevé

Ushio to Tora

Ushio To ToraUshio est un jeune garçon qui vit dans un temple Shinto et qui découvre un jour un démon enfermé dans un cellier dissimulé, scellé là par une lance chasseuse de démons (de youkai, en japonais). Enfermé là depuis 500 ans, le démon a accumulé une telle malice (youki) que celle-ci attire les youkais et les fait se matérialiser pour attaquer les humains. Ushio n’a pas d’autre choix que le libérer et le forcer à chasser ces monstres, sous la contrainte de se retrouver de nouveau scellé par la lance bestiale (Beast Spear). Celle dernière a la particularité de se nourrir de l’âme de son porteur pour lui conférer la puissance nécessaire pour chasser les monstres, et le transforme donc (temporairement) en “prédateur” pour pouvoir parvenir à ses fins. Ushio donne au youkai qu’il a libéré le nom de Tora, et le maintient sous la bonne garde de sa lance, jusqu’à ce que tous les démons attirés par sa malice soient chassés…

Mon avis : Il s’agit apparemment une réadaptation animée d’un vieux manga des années 90, et le chara-design vieillot le démontre, de même que l’humour. Le résultat est plutôt sympathique, avec un humour à la Ranma 1/2 qui ne me déplaît pas, à petites doses. Si l’on commence d’abord par une série d’épisodes au format classique “un monstre = un combat”, Tora étant souvent contraint d’aider Ushio malgré lui, très vite une intrigue commence à émerger, de même qu’une relation de confiance semble s’installer entre les deux héros (à leur grand dam).

Statut du visionnage : Inachevé

Les séries auxquelles je n’ai pas accroché

Rampo Kitan : Game of Laplace

Rampo Kitan Game Of LaplaceL’histoire se déroule dans une école où un meurtre horrible est commis. Kobayashi, un élève au physique de fille se réveille sur les lieux dudit crime, sans savoir ce qu’il y faisait, ce qui fait de lui le principal suspect. Étrangement, il semble n’en éprouver aucune crainte, car tout dans cette vie semble l’ennuyer et pour la première fois quelque chose d’excitant lui arrive. Il fait la rencontre d’un super détective, Akechi, et le supplie de faire de lui son assistant. Mais pour que son idole accepte, il devra réussir à résoudre le mystère du meurtre dont il semble coupable, tout en étant limité dans ses mouvements en tant que suspect.

Mon avis : C’est vraiment très, très bizarre. Le héros a tout du psychopathe qui s’ignore et est fasciné par les meurtres horribles et les mystères. L’ambiance est super glauque et je n’ai finalement pas réussi à me motiver à regarder les épisodes suivants. Peut-être que je tenterai le coup si le courage me revient.

Classroom Crisis

Classroom CrisisDans un avenir lointain, l’humanité a colonisé toutes les planètes du système solaire et a bon espoir d’aller plus loin encore. Nous suivons une classe de jeunes élites sur Mars qui suivent une formation  aéronautique pour devenir pilotes et techniciens, et notamment travaillent sur des projets de véhicules spatiaux. Le premier épisode s’achève cependant sur l’arrivée d’un nouvel élève qui s’avère être également le boss de leur département (ils sont également fonctionnaires) qui leur annonce tout de go sa fermeture…

Mon avis : Ça avait l’air d’être de bonne qualité, mais c’était tellement WTF que je n’ai pas réussi à accrocher.

Joukamachi no Dandelion (Castle Town Dandelion)

Castle Town DandelionCet anime raconte la vie quotidienne d’une famille nombreuse de neuf frères et soeurs dont le père est le roi du pays. Mais ce n’est pas tout ! Pour être proche de son peuple, le roi a décidé de vivre dans une maison ordinaire, et de vivre une vie ordinaire – en dehors des vicissitudes de la royauté. Qui plus est, le symbole du sang royal est la possession d’un pouvoir magique dont ses héritiers sont tous dotés. Célébrité oblige, la famille est suivie en permanence par les journalistes et des caméras de surveillance, ce qui dérange l’une des filles, Akane, qui souffre d’une terrible timidité.

Mon avis : L’anime est tiré d’un de ces mangas “4-komas”, constitués de petits strips humoristiques racontant des scènes de la vie quotidienne. Cela le rend plein d’humour et doté de personnages très  pragmatiques, mais la quantité ahurissante de “panty shots” pendant le premier épisode et le côté complètement téléphoné du scénario m’ont complètement blasée.

God Eater

God EaterDans un monde post-apocalyptique, l’humanité est menacée par d’étranges formes de vies monstrueuses, visiblement bien décidées à dévorer toute vie sur terre et immunisées à toutes les armes. Le dernier espoir de l’humanité réside en la création de nouvelles armes appellées “God Arcs” fabriquées à partir de ces mêmes créatures et qui peuvent n’être manipulées que par certains humains, les “God Eaters”. On se voit introduire un héros qui s’est vu attribuer un nouveau type de “bracelet” (apparemment un prérequis pour manipuler ces armes) et suit un entraînement pour affronter les monstres.

Mon avis : Le principal problème de cet anime, du moins son premier épisode (je n’ai pas vu la suite) réside dans son design très étrange. Une sorte de cell-shading qui donne un effet plastifié aux personnages, qu’on voit parfois dans certains jeux vidéo mais nettement moins souvent dans les animes. La narration est également perturbée par des ralentis complètement inutile et des coupures d’une scène à l’autre qui empêchent de bien suivre ce qui se passe. Passé outre ce problème, il y a également le fait que je n’ai jamais beaucoup aimé les histoires à base de combat désespéré contre une entité trop puissante. (Raison pour laquelle je n’aime pas l’anime Attack on Titan). Du coup, je n’ai pas eu le courage d’atteindre le minimum des trois épisodes pour me faire un avis.

Chaos Dragon : Sekiryuu Sen’eku

Chaos DragonDans un univers fantasy, nous nous retrouvons sur l’ile de Nil Kamui, un pays désormais privé de son indépendance suite à un conflit entre deux nations, Donatia et Kouran. Le prince héritier de cette nation sans indépendance a renoncé à son trône, dans l’espoir d’éviter que la guerre ne se prolonge et pour permettre à son peuple de vivre en paix. Las ! Suite à une manigance des indépendantistes locaux, le jeune Ibuki se retrouve contraint de faire un pacte avec le Dragon Rouge, entité surpuissante liée à la famille royale, et pour sauver les siens est forcé (littéralement) de sacrifier son amie la plus proche, le Dragon demandant une âme en échange de ce contrat.

Mon avis : On est en plein dans l’anime fantasy classique, avec des personnages au chara-design aussi rocambolesque que possible, notamment du côté des vêtements, des psychopathes, des traîtres, et un héros malgré lui complètement geignard. J’ai vu assez d’animes de ce genre pour savoir que ça ne sera qu’une soupe de clichés sans beaucoup d’intérêt. Et ne parlons pas de l’insertion d’éléments en 3D dont je pensais que la mode était passée, ou des textes excessivement longs apparaissant sur l’écran. J’ai réussi à voir trois épisodes et vu que l’action ou l’humour (spoiler : il n’y en a pas) ne suffisent pas à maintenir mon intérêt, j’ai laissé tomber.
Accessoirement, en lisant des informations à ce sujet, il semblerait que cet anime soit la retranscription d’une campagne de jeu de rôle en anime. Ah bah c’était probablement épique en roleplay, mais en anime c’est vraiment pas terrible.


 

Il reste moult animes de cette saison auxquels je n’ai pas même jeté le moindre coup d’oeil, parce que le pitch de départ ne m’intéressait pas du tout, mais c’est à vous d’aller voir si ça vous intéresse. Il y a des séries abusivement ecchi, des séries adultes trop bizarres à mes yeux (Prison School), des magical girls, des animes de Mecha (je n’aime pas ça), la troisième saison de Durarara!! que je ne peux pas regarder parce que je n’ai pas vu la seconde, et j’en passe. Par contre, n’espérez pas d’autres reviews de ma part à l’avenir, parce qu’en fait, ça bouffe un temps fou de – tenter de – suivre autant de séries en même temps, boudiou.

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